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Babouche dans la peinture
-Babouche-Peinture-Religion-
La peinture a donnée à voir
les représentations
de l’inconscient collectif
relatives à la babouche
à travers les différentes civilisations et religions.
Ce soulier de cuir ancien ;
très présent dans l’imaginaire de chacun d’entre nous, plus que jamais aujourd’hui,
a chaussé nos ancêtres, hommes et femmes
depuis des temps immémoriaux.
La babouche a été peinte
dans toutes les traditions.
La babouche, cette chaussure orientale est devenue au fil de notre histoire ,
l’objet chaussant universel par excellence mais aussi le chausson d’aujourd’hui.
Francis William TOPHAM
artiste anglais 1808-1877
représente la scène biblique du livre de Samuel Ancien testament.
La babouche, chaussure artisanale qui foule la terre
et protège nos pas,
est l’objet d’un puissant symbolisme.
Le terme « babouche » est emprunté au turc pāpuš, signifiant « chaussure », qui lui-même est issu du persan pāpuš پاپوش, signifiant également « chaussure ». Ce dernier est formé à partir de pā, qui signifie « pied », et de puš, qui signifie « couvrir – La babouche (Arabe بلغة Balghra /شربيل Charbil), apparait au iiie siècle apr. J.-C. et était portée par les femmes qui devaient cacher le bout de leurs pieds. Elle sera aussi adoptée par les hommes. En France, dès le xvie siècle, apparaissent les formes papouch ou babuc. Extrait WIKIPEDIA
Nous remarquons ici une référence biblique majeure.
Le peintre Anglais
Francis William TOPHAM
représente Eli chaussé de babouches, avec à ses pieds, Anne et l’enfant Samuel.
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